"Constance rentra lentement, comprenant la
profondeur de cette autre chose qui était en elle. Un autre moi vivait en elle,
fondant, brulant, et doux dans ses entrailles; et, de tout ce moi, elle adorait
son amant. Elle l'adorait jusqu'à sentir en marchant faiblir ses genoux. Dans
ses entrailles, elle était contente et vivante et vulnérable et sans défense
dans son adoration pour lui, comme la femme la plus naïve."
D.H. Lawrence
L’Amant de Lady Chatterley
4 commentaires:
Tiens, je ne me souvenais pas de cet extrait !
Efeuillons la marguerite...
Ben quoi les filles, c'est pas joli ce texte écrit par un homme sur une sensation exclusivement féminine ?
Oui, si, si vrai...
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