J’habite un pays de collines émouvantes que la garrigue couvre d’un manteau vert foncé. De mon village perché sur l’une d’entre elles, je peux voir le château d’Aguilar qui veille sur la plaine.
Lorsque je me balade au milieu des vignes à vélo, je contourne souvent un joli monticule aux pentes douces et odorantes. Les petits chênes kermès, les pistachiers, les buissons de cade et de ciste cotonneux poussent sur ses flancs, y côtoyant les touffes de thym et de romarin.
Sur les hauteurs de mon bel îlot touffu, les cimes de quelques longs cyprès ondulent sous le vent qui les agite à peine dans la chaleur plombante des étés radieux des magnifiques Corbières.
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