27 mars 2010

Manufactured landscapes

Une photo d'Edward Burtynsky

10 commentaires:

anne des ocreries a dit…

Maman, j'ai peur !
Je refuse de jamais trimer dans un pareil endroit - j'aime encore mieux continuer de crever de faim.

piedssurterre a dit…

T'as vu, ils sont roses et bleus, peut-être sont-ils arrivés là portés par un vol de cigognes cybernétiques...

jean-jacques a dit…

Ah voilà j'allais en causer justement, c'est comment dire... très choli tout ce rose en mouvement, un peu comme une batterie de poulets repeinte aux armoiries du printemps, une gay pride indoor, des confiseries cochonnes légèrement gélatineuses , qui colleraient aux dents et que l'on mangerait sous cape en culpabilisant bien sur, et...des morceaux d'un énorme ballon qui cousu bout par bout pourrait prendre très prochainement son vol pour avoir une re-vue d'ensemble et sentir enfin le vent décoiffant sur sa liberté retrouvée!
Bon en attendant moi j'vais me faire un ptit café
heu! je mets combien de tasses?

Blue a dit…

Oups! Effrayant !!

gaétan a dit…

Un bâtiment où l'on entasse la volaille, c'est la première association que j'ai fait en voyant cette photo.
Mais bon à moindre échelle j'ai déjà travaillé sur une chaîne de production quelques semaines pendant quelques années.Rien de valorisant c'est sûr, encore moins y passer sa vie.
J'essayais de faire travailler autant mon imagination que les automatismes que la job demandait.
La grande différence j'y étais par choix (aider un petit producteur) que par obligation.

RAINETTE (l'énigmatique) a dit…

Horrifiant ! Je suis végétarienne et vais le demeurer. Suis certaine que l'usine de tofu ne ressemblera jamais à ça !

Bon samedi Françoise !

RAINETTE (l'énigmatique) a dit…

ce doit être des Chinois ou des Japonais.

Zoë Lucider a dit…

Je commente aussi ton post précédent. Les deux photographes ne sont pas comparables. Celui-ci fait dans l'horreur économique. Ces femmes en batterie (je suppose que ce sont des femmes à cause du rose 0) ) Je suis allée voir son site. Les photos sur le recyclage (entre autres ) sont hallucinantes. La terre devient une gigantesque poubelle. On ne peut même pas fuir, nous sommes cernés!

Gomeux a dit…

Le documentaire du même nom vaut la peine d'être vu, ne serait-ce que pour la première scène, un plan séquence d'à peu près 5 minutes qui est en fait un simple travelling à travers une usine.
Brr.

Sébastien Haton a dit…

Aussi joli que flippant.
Au premier coup d'œil, j'ai cru que c'était un élevage de porcs...
Où sont mes lunettes ?

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