Je commente ici le précédent parce qu'au fond les deux se complètent. Aubenas ne prétend pas être autre chose qu'une journaliste. Que son bouquin se vende 20 euros, ça ne relève pas de sa responsabilité directe. Ce qui est important c'est qu'elle ne nous parle pas des crèmes dépilatoires mais qu'elle documente un dossier sur la précarité de cette façon. Qui en parle sinon ? Quelques articles de ci de là. Point barre. Moi je suis née dans un milieu très pauvre, j'ai connu ces boulots précaires mais j'ai fait des études et tout en travaillant dans un milieu où on gagne des salaires de misère j'ai réussi à vivre décemment ce qui me convient et il m'arrive de ne pas donner de fric aux mendigoteurs et il m'arrive d'en donner. La misère je l'ai connue et ce n'est pas un idéal de vie pour personne. Qu'une femme courageuse s'extirpe de son univers cosy pour secouer un brin le cocotier eh ben ça me semble tout à fait louable. Et qu'une journée sans immigrés et qu'une journée internationale des femmes existent en attendant qu'on n'ait plus à rappeler que sans les immigrés y'a tout un pan de l'économie qui s'écroulerait et que sans les femmes c'est le monde qui tiendrait pas debout eh ben moi je trouve ça essentiel!!! On n'est pas d'accord my sweet MPST ? Dommage. Ca ne m'empêchera pas de te rendre visite.
Zoé. Non, nous ne sommes pas d'accord. Moi, je ne trouve pas ça dommage. C'est de l'échange que naît la lumière, et il est nécessaire de réfléchir sur certaines positions dans une société dévoyée par la manipulation. Tenter d'aller chercher la vérité au-delà des apparences. Avoir les yeux grands ouverts, ç'est ça qui compte. Bisesxxx
6 commentaires:
paresse oui... super ! Les caricatures que tu choisis me font toujours rire ! Merci en ce beau samedi ensoleillé et doux....enfin !
Doux pour le Québec disons....et seulement qu'au soleil, à l'abri du vent !
Dans le même registre, je ne peux pas réfléchir au destin de l'âme humaine si mon interlocutrice est nue.
Je commente ici le précédent parce qu'au fond les deux se complètent. Aubenas ne prétend pas être autre chose qu'une journaliste. Que son bouquin se vende 20 euros, ça ne relève pas de sa responsabilité directe. Ce qui est important c'est qu'elle ne nous parle pas des crèmes dépilatoires mais qu'elle documente un dossier sur la précarité de cette façon. Qui en parle sinon ? Quelques articles de ci de là. Point barre. Moi je suis née dans un milieu très pauvre, j'ai connu ces boulots précaires mais j'ai fait des études et tout en travaillant dans un milieu où on gagne des salaires de misère j'ai réussi à vivre décemment ce qui me convient et il m'arrive de ne pas donner de fric aux mendigoteurs et il m'arrive d'en donner. La misère je l'ai connue et ce n'est pas un idéal de vie pour personne. Qu'une femme courageuse s'extirpe de son univers cosy pour secouer un brin le cocotier eh ben ça me semble tout à fait louable. Et qu'une journée sans immigrés et qu'une journée internationale des femmes existent en attendant qu'on n'ait plus à rappeler que sans les immigrés y'a tout un pan de l'économie qui s'écroulerait et que sans les femmes c'est le monde qui tiendrait pas debout eh ben moi je trouve ça essentiel!!!
On n'est pas d'accord my sweet MPST ? Dommage. Ca ne m'empêchera pas de te rendre visite.
M'a toujours fait rire ce dessin ; à quoi ça tient hein, l'autorité tout de même ! :))
Zoé. Non, nous ne sommes pas d'accord.
Moi, je ne trouve pas ça dommage.
C'est de l'échange que naît la lumière, et il est nécessaire de réfléchir sur certaines positions dans une société dévoyée par la manipulation. Tenter d'aller chercher la vérité au-delà des apparences.
Avoir les yeux grands ouverts, ç'est ça qui compte.
Bisesxxx
:-) J'aime beaucoup ce dessin et beaucoup également la remarque de Samuel Pothier que je trouve savoureuse...
Bises Fanfan.
Blue
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